lunes, 8 de marzo de 2010

La difficile vie de mon arrière grand-mère

Nos arrières-grands-mères vont laver le linge à l'Algarrobal, 1937
LA VIE DE MON ARRIÈRE-GRAND-MÈRE. La vie de mon arrière-grand-mère est une des histories les plus tristes que j'ai ecoutée de ma vie. Je vais commencer à raconter sa vie depuis qu'elle s'est mariée avec l'homme qui a été avec elle pendant toute sa vie. Ils ont eu trois fils. Il travaillait dans le champ et pendant les époques de beaucoup de pluie il y avait peu de travail. Par ces circonstances, elle nettoyait un casino pendant la nuit et elle travaillait dans un restaurant pendant le jour. Elle a travaillé pour blanchir à la chaux, pour pétrir du pain, pour fabriquer du carbon et d'autres travaux, puisqu'elle a fait tout le nécessaire pour améliorer leur situation. De plus, elle m’a raconté que quand sa mère est morte, elle n'avait pas d'argent pour payer le cercueil et pour cette raison, elle a donné a un charpentier les planches d'un lit pour qu'il en fit un. Finalement, avec le pas des ans, les fils ont grandi. Ils ont travaillé dans les fabriques et ainsi, entre tous, ils ont pu sortir de la misère. 
 
Cristina Montedeoca, 2ºBach.
 
 
 
 
Mon arrière-grand-mère Ana.
  Mon arrière-grand-mère s'appelait Ana Barea Leyton et elle habitait à El Bosque. Pendant la “Guerra Civil” espagnole, les habitants de El Bosque qui appuiaient Franco entrèrent chez-elle où habitaient elle avec son mari Antonio Sarmiento Gutiérrez et leurs deux filles: María et Ana, qui étaient très petites. Quand ils étaient à la maison, les nacionalistes ont capturé son mari et tout le monde était en silence. Le mari de mon arrière-grand-mère ne pouvait rien dire. À la maison, seulement étaient mon arrière-grand-mère Ana, ma grand-mère María et sa soeur Ana. Le lendemain matin, les nacionalistes avec le mari et cinq autres habitants de El Bosque sont allés jusqu'a Benamahoma. Ici, toutes ces personnes qui étaient contre Franco ont été fusillées. Après l'assassinat de son mari, mon arrière-grand-mère a pris soin toute seule de ses filles María et Ana.
Diego Corrales González 2º Bach . 
 
 
 
 
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